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Introduction
Ce chapitre ouvre un livre exigeant mais profondément encourageant. Il présente une révélation destinée à des communautés réelles confrontées à la pression et à l’incertitude, et leur montre le Messie Jésus vivant, proche, parlant, marchant au milieu d’elles. Loin d’être un puzzle ésotérique, ce texte met à nu le sens : écouter, garder, et voir la réalité telle que Dieu la montre, avec le Messie Jésus au centre, souverain et fidèle.
I. Dates
Le livre de l’Apocalypse a probablement été rédigé vers l’an 95, sous le règne de l’empereur Domitien. Si l’auteur est l’apôtre Jean, comme nous le pensons, il aurait eu environ 85 à 90 ans à ce moment-là.
Date de rédaction
La majorité des spécialistes situent la rédaction de l’Apocalypse vers 95 après J.-C., à la fin du règne de l’empereur Domitien (81–96). Cette datation repose sur plusieurs éléments :
Le contexte de persécution évoqué dans le texte correspond à celui vécu sous Domitien.
Irénée de Lyon, au IIe siècle, affirme que Jean a eu la vision à Patmos à la fin du règne de Domitien.
Certains chercheurs proposent une date plus ancienne, autour de l’an 68–70, sous Néron, mais cette hypothèse est minoritaire.
Age de Jean
L’identité exacte de l’auteur reste débattue :
Traditionnellement, il est identifié à Jean, fils de Zébédée, l’un des douze apôtres. Nous retenons cette hypothèse.
Si Jean était adolescent (disons 15–20 ans) au moment du ministère du Messie Jésus (vers l’an 30), il aurait eu environ 85 à 90 ans en l’an 95.
Certains Pères de l’Église, comme Justin Martyr et Irénée, affirment que Jean a vécu jusqu’au début du règne de Trajan (vers 98), ce qui confirme une longévité exceptionnelle.
D’autres hypothèses évoquent Jean le Presbytre, un ancien de la communauté d’Éphèse, ce qui rend l’âge moins certain.
En résumé
Date probable de rédaction : vers 95 après J.-C.
Lieu : île de Patmos, en exil forcé
Auteur : Jean, probablement âgé de 85 à 90 ans si l’on suit la tradition apostolique
Contexte : persécution, appel à la fidélité, révélation du Christ glorieux
II. Analyse exégétique d’Apocalypse 1.1-20
Analyse verset par verset
Apocalypse 1.1 (S21) : « Révélation
de Jésus-Christ. Dieu la lui a donnée pour montrer à ses serviteurs ce qui doit arriver bientôt et l'a fait connaître en envoyant son ange à son serviteur Jean. »
Point de départ : Ce n’est pas d’abord une révélation “sur” la fin, mais “de” Jésus-Christ : sa personne éclaire tout.
Finalité : Il s’agit de montrer, donc d’ouvrir les yeux des croyants sur ce qui vient, afin de vivre avec lucidité.
Transmission simple : Dieu → Jésus → ange → Jean → Eglises : une chaîne fiable, qui garantit que le message ne vient pas de l’imaginaire.
Apocalypse 1.2 (S21) : « Celui-ci l'a attesté, tout ce qu'il a vu est la parole de Dieu et le témoignage de Jésus-Christ. »
Crédibilité : Jean n’invente pas ; il atteste ce qu’il a vu, comme un témoin oculaire.
Double ancrage : Parole de Dieu et témoignage du Messie Jésus : la voix de Dieu et la vie du Messie Jésus convergent.
Vision et fidélité : “Ce qu’il a vu” souligne que la révélation se donne en images, pour toucher l’intelligence et l’imaginaire.
Apocalypse 1.3 (S21) : « Heureux celui qui lit et ceux qui écoutent les paroles de la prophétie et gardent ce qui s'y trouve écrit, car le moment est proche! »
Promesse de bonheur : Lire, écouter, garder : trois gestes concrets pour une vie alignée.
Proximité du moment : L’urgence n’est pas anxiogène ; elle incite à l’attention et à la fidélité aujourd’hui.
Communautaire : “Celui qui lit… ceux qui écoutent” suggère une lecture publique et partagée.
Apocalypse 1.4 (S21) : « De la part de Jean aux sept Eglises qui sont en Asie: que la grâce et la paix vous soient données de la part de [Dieu,] celui qui est, qui était et qui vient, de la part des sept esprits qui sont devant son trône »
Destinataires concrets : Sept communautés réelles : le texte parle à des personnes situées.
Bénédiction centrale : Grâce et paix : ce don précède toute correction ou appel.
Celui qui est, était, vient : Dieu est présent dans tout le temps ; aucune période n’échappe à sa fidélité.
Apocalypse 1.5 (S21) : « et de la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né d'entre les morts et le chef des rois de la terre! A celui qui nous aime, qui nous a lavés de nos péchés par son sang »
Portrait en trois traits : Fidélité, victoire sur la mort, autorité universelle.
Amour actuel : “Qui nous aime” au présent : son amour n’est pas passé.
Libération réelle : “Lavés” évoque une purification et une nouvelle identité.
Apocalypse 1.6 (S21) : « et qui a fait de nous un royaume, des prêtres pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la domination aux siècles des siècles! Amen! »
Nouvelle vocation : Peuple royal et sacerdotal : accès à Dieu et responsabilité pour le monde.
Adoration : La réponse juste à ce don est la louange.
Durée sans fin : La domination du Christ n’est pas provisoire ; elle dure.
Apocalypse 1.7 (S21) : « Le voici qui vient avec les nuées. Tout œil le verra, même ceux qui l'ont transpercé, et toutes les familles de la terre pleureront amèrement sur lui. Oui. Amen! »
Visibilité universelle : Pas d’apparition cachée ; la venue touche le monde entier.
Mémoire de la blessure : “Ceux qui l’ont transpercé” rappelle que l’histoire de la croix reste décisive.
Douleur lucide : Les pleurs expriment une prise de conscience : ce que le monde a fait au Juste.
Apocalypse 1.8 (S21) : « «Je suis l'Alpha et l'Oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant.» »
Origine et achèvement : Du début à la fin, Dieu embrasse la totalité.
Présence souveraine : Le “Tout-Puissant” rassure : rien n’échappe à sa main.
Constance de l’être : Même refrain qu’au verset 4: stabilité divine comme socle.
Apocalypse 1.9 (S21) : « Moi Jean, votre frère et votre compagnon dans la persécution, le royaume et la persévérance en Jésus-Christ, j'étais dans l'île appelée Patmos à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus-Christ. »
Solidarité : Jean se dit “frère” et “compagnon” : il partage l’épreuve, le règne et l’endurance.
Patmos : Lieu d’exil et de fidélité : la parole peut conduire à la marginalisation.
Cause claire : Il est là “à cause” de son attachement public au Messie Jésus.
Apocalypse 1.10 (S21) : « Je fus saisi par l'Esprit le jour du Seigneur et j'entendis derrière moi une voix forte comme le son d'une trompette. »
Moment liturgique : “Jour du Seigneur” suggère un temps d’adoration partagé.
Initiative divine : C’est l’Esprit qui prend l’initiative ; la révélation n’est pas forçage humain.
Voix qui réveille : La trompette appelle à l’attention et au rassemblement.
Apocalypse 1.11 (S21) : « Elle disait: «Ce que tu vois, écris-le dans un livre et envoie-le aux sept Eglises: à Ephèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie et à Laodicée.» »
Voir puis écrire : La vision se transforme en parole durable.
Destinations précises : Sept villes ; le message est contextualisé et circulant.
Responsabilité d’auteur : Jean reçoit une mission éditoriale pour le bien des communautés.
Apocalypse 1.12 (S21) : « Je me retournai pour savoir quelle était la voix qui me parlait. M'étant donc retourné, je vis sept chandeliers d'or, »
Du son à la vue : Se retourner, c’est passer de l’appel à la réalité.
Chandeliers d’or : Symboles de communautés appelées à briller : la valeur de l’Église est précieuse.
Sept comme plénitude : L’ensemble des Églises est visé, pas une élite.
Apocalypse 1.13 (S21) : « et au milieu des [sept] chandeliers quelqu'un qui ressemblait à un fils d'homme. Il était habillé d'une longue robe et portait une écharpe en or sur la poitrine. »
Au milieu : Le Messie Jésus n’est pas loin ; il est présent au cœur des communautés.
Fils d’homme : Figure humaine, proche, mais majestueuse.
Habit et écharpe : Dignité et autorité ; il est qualifié pour parler et juger avec équité.
Apocalypse 1.14 (S21) : « Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige. Ses yeux étaient comme une flamme de feu, »
Daniel 1.14 (S21) : « Il leur accorda ce qu'ils demandaient et fit un essai avec eux pendant 10 jours. »
Blancheur : Sagesse et pureté ; expérience et clarté morale.
Yeux de feu : Regard qui voit tout, qui réveille et purifie.
Aucune zone d’ombre : Rien n’échappe à son discernement.
Apocalypse 1.15 (S21) : « ses pieds étaient semblables à du bronze ardent, comme s'ils avaient été embrasés dans une fournaise, et sa voix ressemblait au bruit de grandes eaux. »
Pieds solides : Stabilité et force ; il tient fermement le terrain.
Chaleur du bronze : Epreuve traversée et puissance éprouvée.
Voix comme eaux : Autorité ample, qui porte et enveloppe.
Apocalypse 1.16 (S21) : « Il tenait dans sa main droite sept étoiles, de sa bouche sortait une épée aiguë à deux tranchants et son visage était comme le soleil lorsqu'il brille dans toute sa force. »
Main droite : Protection et maîtrise : les “étoiles” sont gardées.
Épée de la bouche : Sa parole tranche le vrai du faux et libère.
Visage soleil : Éclat qui illumine, réchauffe et parfois éblouit.
Apocalypse 1.17 (S21) : « Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa alors sa main droite sur moi en disant: «N'aie pas peur. Je suis le premier et le dernier, »
Réaction humaine : Face au sacré, Jean s’effondre ; c’est normal d’être dépassé.
Geste apaisant : La main sur lui : proximité, non rejet.
Première parole : “N’aie pas peur”: la révélation commence par la consolation.
Apocalypse 1.18 (S21) : « le vivant. J'étais mort et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je détiens les clés de la mort et du séjour des morts. »
Identité claire : Le Vivant a traversé la mort et la domine.
Clés en main : Il ouvre et ferme ce qui nous terrifie ; rien n’est fatalisme.
Espérance forte : La mort n’a plus le dernier mot.
Apocalypse 1.19 (S21) : « Ecris donc ce que tu as vu, ce qui est et ce qui doit arriver ensuite. »
Triptyque du temps : Passé vu, présent vécu, futur à venir : tout est pris en compte.
Devoir d’écriture : La vision doit devenir mémoire et repère pour les autres.
Ordre simple : Pas de complexité inutile : voir, écrire, transmettre.
Apocalypse 1.20 (S21) : « Quant au mystère des sept étoiles que tu as vues dans ma main droite et des sept chandeliers d'or, le voici: les sept étoiles sont les anges des sept Eglises et les sept chandeliers sont les sept Eglises. »
Interprétation donnée : Le Messie Jésus explique, pour éviter la confusion.
Anges et Eglises : Chaque communauté est accompagnée ; elle compte et est vue.
Au milieu des chandeliers : La présence du Messie Jésus au cœur des Églises est la clé de lecture de tout le livre.
Carte des 7 Eglises citées par Jean

III. Synthèse d’Apocalypse 1.1-20
Voici une synthèse détaillée du chapitre 1 de l’Apocalypse, en respectant la structure narrative, les éléments théologiques et les symboles clés :
Synthèse du chapitre 1 de l’Apocalypse
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Prologue et bénédiction (Apocalypse 1.1-3)
Origine de la révélation : Elle vient de Dieu, transmise au Messie Jésus, puis à son serviteur Jean par l’intermédiaire d’un ange.
Objet : Les événements qui doivent arriver bientôt.
Caractère prophétique : Jean atteste la parole de Dieu et le témoignage du Messie Jésus-Christ.
Béatitude : Heureux celui qui lit et ceux qui entendent les paroles de cette prophétie, et qui gardent ce qui y est écrit.
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Adresse aux sept Églises (Apocalypse 1.4-6)
Expéditeur : Jean s’adresse aux sept Églises d’Asie.
Salutation trinitaire :
De celui qui est, qui était et qui vient (Dieu le Père).
Des sept esprits devant son trône (interprétés comme la plénitude de l’Esprit Saint).
De Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né d’entre les morts, le prince des rois de la terre.
Doxologie (louange à Dieu) :
Jésus nous aime, nous a lavés de nos péchés par son sang.
Il a fait de nous un royaume, des prêtres pour Dieu son Père.
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Annonce du retour du Christ (Apocalypse 1.7-8)
Vision eschatologique : Il vient avec les nuées, tout œil le verra, même ceux qui l’ont transpercé.
Réaction universelle : Toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui.
Déclaration divine : « Je suis l’Alpha et l’Oméga », dit le Seigneur Dieu, « celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant ».
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Contexte de la vision (Apocalypse 1.9-11)
Identité de Jean : Frère et compagnon dans la tribulation, le royaume et la persévérance en Jésus.
Lieu : Île de Patmos, à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus.
Moment : Un jour du Seigneur (dimanche), Jean est ravi en esprit.
Voix puissante : Comme le son d’une trompette, elle lui ordonne d’écrire dans un livre ce qu’il voit et de l’envoyer aux sept Églises : Éphèse, Smyrne, Pergame, Thyatire, Sardes, Philadelphie et Laodicée.
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Vision du Fils de l’homme (Apocalypse 1.12-16)
Lieu de la vision : Jean se retourne et voit sept chandeliers d’or.
Personnage central : Un être semblable à un Fils d’homme, au milieu des chandeliers.
Description symbolique :
Vêtement long et ceinture d’or.
Cheveux blancs comme la laine, yeux comme une flamme de feu.
Pieds comme du bronze ardent, voix comme le bruit de grandes eaux.
Dans sa main droite : sept étoiles.
De sa bouche : une épée aiguë à deux tranchants.
Son visage : comme le soleil qui brille dans sa force.
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Réaction de Jean et révélation du Christ (Apocalypse 1.17-20)
Effroi de Jean : Il tombe comme mort.
Réconfort du Christ : « Ne crains point. Je suis le premier et le dernier, le vivant. J’étais mort, et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. »
Clé de la mort et du séjour des morts : Jésus les détient.
Mission de Jean : Ecrire ce qu’il a vu, ce qui est, et ce qui doit arriver ensuite.
Interprétation des symboles :
Les sept étoiles : les anges des sept Églises.
Les sept chandeliers : les sept Églises elles-mêmes.
Au cœur du premier chapitre de l’Apocalypse se révèle le Christ vivant, sage et souverain, qui se tient « au milieu » des Églises. Sa parole éclaire, corrige et protège, invitant les croyants à devenir des lecteurs-auditeurs fidèles, gardant le message et vivant dans la grâce et la paix avec courage. L’espérance est concrète : le Vivant détient les clés de la mort, et l’histoire n’est pas abandonnée au chaos mais tenue par celui qui est, qui était et qui vient. La mission demeure actuelle : voir ce que Dieu montre, écrire et partager fidèlement, et marcher comme peuple royal et sacerdotal, assuré que le Messie Jésus accompagne chaque communauté.
IV. Commentaire
Le premier chapitre de l’Apocalypse de Jean nous livre des informations particulièrement précises. Il présente un message, venant directement de Dieu, qui s’adresse aux sept Églises. Celles-ci symbolisent, au fond, l’ensemble de l’Eglise universelle, dans toutes ses formes et expressions.
Ce message divin, transmis par Jean, est destiné à être compris et proclamé à tous. Jean agit ainsi en tant que messager fidèle, retranscrivant la parole de Dieu pour les Eglises, afin que son contenu soit entendu et annoncé à tous les hommes. L’importance de ces informations réside dans leur portée universelle : elles doivent être proclamées pour que chacun en prenne connaissance.
A travers cette fonction de transmission, l’apôtre Jean se révèle comme un prophète pour les générations futures. Ce rôle prophétique, inscrit dans le texte, permet au message de rester vivant et pertinent pour l’Eglise, depuis sa création au premier siècle jusqu’à aujourd’hui.
Les affirmations de ce chapitre s’avèrent être une réalité constante dans la vie de l’Eglise. La présence du Messie Jésus, vainqueur de la mort et tout-puissant, demeure un puissant encouragement pour la foi des croyants. Sa victoire et sa puissance sont des assurances qui soutiennent l’Eglise au fil du temps.
En outre, il est affirmé que le monde n’est pas abandonné à la fatalité ou au hasard, mais qu’il est sous le contrôle souverain de Dieu. Cette conviction fait écho à la déclaration de Daniel devant le roi Nabuchodonosor (Daniel 2.21), tout en offrant un encouragement particulier à ceux qui subissent des persécutions en raison de leur foi. Ainsi, même si les hommes dirigent le monde en apparence, c’est Dieu qui pose les limites en disant : « Jusqu’ici mais pas plus loin » (Job 38.11, Marc 4.39, Apocalypse 1.18).
Cette réalité demeure, aujourd’hui encore, une source d’encouragement pour tous les chrétiens, leur rappelant la souveraineté de Dieu au cœur de l’histoire.
Conclusion
Le premier chapitre de l’Apocalypse place d’emblée le Messie Jésus ressuscité au centre de l’histoire et de la vie de l’Église. Il se tient « au milieu » des chandeliers, proche de ses communautés, et manifeste sa sagesse, sa puissance et sa gloire. Sa parole éclaire, corrige et protège, afin que les croyants deviennent des auditeurs fidèles, enracinés dans la grâce et la paix.
Cette révélation est loin d’être théorique : elle apporte une véritable espérance. Celui qui est vivant possède l’autorité sur la mort et sur le séjour des morts ; il contrôle l’histoire, qui n’est pas laissée au hasard, mais guidée par celui qui existe, qui a existé et qui viendra.
La mission confiée à Jean devient celle de chaque disciple : voir ce que Dieu montre, écrire et partager fidèlement, marcher comme peuple royal et sacerdotal. Ainsi, chaque communauté peut avancer avec courage, sachant que le Messie Jésus accompagne et soutient son Eglise jusqu’à la fin des temps.
Matthieu 28.20 (S21) : « et enseignez-leur à mettre en pratique tout ce que je vous ai prescrit. Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde.» »
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